Puisque nous méritons tous les deux mieuxQue cette vie dont on télé jouitDans un climat social a deux cent lieuesD’un monde ailleurs le rêve de notre viePuisqu´on chevauche trois fois par semaineLa même longueur d´onde pour nourrir l´espoirD´un lendemain où l´on gommerait la haineCes petits riens qui chaque jour nous séparent Puisqu´on soumet à la fatalitéNotre avenir si beau dans nos penséesQue de plus en plus la facilitéSerait pour nous deux de tout effacer Je t´invite à voyager sans escaleA construire un radeau et quatre ramesRemonter la rivière tant bien que malKétélassa nouah toutossaham Puisque nous voulons la fumée sans …
J’aime ça :
J’aime chargement…