Je me souviens des Grands Chemins que la nature y est dominante. Je me rappelle que Jean Giono y parle d’un artiste, d’une auberge et dans l’auberge, il y a une aubergiste et un poêle. Il me reste également une image, assez dépouillée certes, mais qui persiste assez précisément dans ma mémoire. Ce tableau cérébral est parcouru par un long chemin de terre bordé de hauts peupliers. Un personnage, certainement le héros du livre, se tient au centre de la scène, droit comme un i et vêtu d’une longue toge marron. Il porte un baluchon de taille moyenne et me …
Le paradOxe des Grands Chemins