Lorsque je commence un tableau, je sens qu’au fond de moi une idée cherche à émerger, et je me sens comme un volcan qui dort et s’éveille soudainement pour faire jaillir les gerbes de couleurs qui sommeillent au plus profond de lui-même. En revanche, je n’arrive jamais à définir par avance de quoi il va s’agir, tout comme le volcan ne prévoit pas dans quelle direction il va faire couler sa lave. Dans le cas d’Esteban, je suis parti de l’esquisse 1. Si vous y voyez quelque chose de particulier, je serais très curieux d’avoir votre avis. (il suffit de …
Esteban de A à Z