Quand arrive le crépuscule
Un son d’accordéon en fond
Je me mets à rêver c’est bon
J’oublie tout me fais minuscule

L’air est encensé et je sens
Le vent frais tout éparpiller
C’est le chaos dans la fumée
Comme dans ma vie. Mon coeur se rend.

Alors je ferme la fenêtre
Me mors les doigts cogne ma tête
Pour oublier que tout s’arrête
Faire disparaître tout mon être.

Nicolas QUENTIN
Orléans, 10 Décembre 2000