Du chemin gelé
Et vus de loin
Je me suis approché
Mais de derrière
Le voile trouble de vent
Mes yeux
Je ne vis que
De vent, moi
Des visages froids
A peine ma peine ressort,
Hideux mes yeux
Ces vies, sages
Regards dans
Les cieux sombres
Et tristes
J’ouïs ;
C’est de mon malheur
Sang gris,
Masque de,
Tristesse sans rire,
Avec eux je suis parti.
Et sans ce retour
Ne ment pas
Cet état d’esprit meilleur
A ça voir
Cœur y a un
Mes larmes
Nids
Champs
Geais
Ronde en ce Monde…
Nicolas QUENTIN
Heillecourt, 27 Octobre 1998